Un centre d’art et une fabrique des arts vivants dans un espace d’hospitalités

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Vie du lieu & Lieu de vie

Une maison conviviale ou l’art se partage.

« Se réveiller le matin avec vue sur le jardin, descendre à la cuisine, croiser les autres artistes, se découvrir capable de parler anglais même très tôt le matin, descendre les escaliers, traverser le jardin, passer par les bureaux...(...) Rentrer dans le théâtre, s’y enfermer avant que les acteurs n’arrivent...l’espace pour rêver. Commencer la journée de travail, essayer, oublier, reprendre un peu mieux... faire une pause à l’heure du goûter.... Enfin, mesurer jour après jour la chance inouïe d’être accueillis dans un lieu d’Art où l’Art n’est jamais séparé de l’art de vivre. »

Johana 


« Disponibilité et écoute. Respiration. Les autres. Une voix douce. La lumière éblouissante par endroits. Des lignes, des bras, des jambes. Les autres. La présence des autres. Un espace qui se construit, se défait s’immobilise, repart, un espace qui se remplit, se vit. Toujours cette voix qui guide, agréable… La présence d’un autre, mais extérieur. Energie, doute, Energie relâchée ou contractée. Je sens mon corps… Mon corps c’est bien le mien… Perception autre de mon corps. Celui des autres aussi… On est là. On habite cet endroit… On est tous différents mais réunis par cet espace partagé et des mouvements qui se construisent, se répondent. Ça sent la fin… Dernières consignes… Plus d’étirement, ça fait mal quand ça dure trop longtemps. Les yeux… Sensation nouvelle pas très agréable. Ré ouvrir les yeux. Ça fait du bien. »

A


« C’est le temps des hypothèses à formuler, des pistes à suivre, des relations à clarifier, avant d’inviter le public dans cet environnement à la fois étrange et bienveillant. » 

Mickaël 



Dans le Tempo 

Percutant. 

3 bis f tu m’étonnes. 

Tu m’as à la bonne. 

Des fois, j’ai le vague à l’âme de lui. 

Et ici, ce spleen, je l’oublie. 

Légèreté, douceur, attention 

M’apportent un bien sans contrefaçon 

Un tempo, un temps, un instant 

Que j’aime chérir et adorer 

Nicolas 



« Ce que j’aime dans le 3 bis f d’abord c’est l’accueil, c’est très important. On est accueilli comme si on était quelqu’un de normal , ni jugé, ni perçu comme malade.(...) Fréquenter des malades ça va un moment, mais au bout d’un moment…  » 

« Le 3 bis f, ça nous aide à aller mieux, plus vite. Ici, c’est libre. Tu vois ce que je veux dire ? Ici, c’est cadré, mais avec une espèce de liberté de soi. » 

Jean Marie


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